-Je m'étais levée relativement tôt ce matin. Je devais absolument travailler Kingdom aujourd'hui. La compétition approchait et je ne voulais pas qu'il perde on aisance sur le terrain. Une fois sortie du lit je retire ma nuisette la posant sur mon lit avant d'aller devant mon miroir se trouvant devant ma fenêtre. Je savais que ma voisine d'en face avait une vue de moi jusqu'à mon bas ventre mais bon... D'une je n'étais pas spécialement très pudique et deuxièmement je ne boudais pas mon plaisir quand tu avais tendance à te déshabiller devant ta fenêtre. Je viens prendre ma brassière noire qui tenait parfaitement mes seins. C'était parfait quand on faisait du western. Puis j'enfila mon jean élastique avant de venir mettre ma chemise à carreaux rouges, que je rentre évidemment dans mon pantalon. Je viens sangler ma ceinture faisant attention de mettre ma boucle de cowboy. Je regarde si tout est bien ajusté avant de venir prendre mon chapeau pour pouvoir le poser sur ma tête. Puis une fois tout cela fait, je mis mes bottes, prenant mes éperons à la main. Je pris mon téléphone que je mis dans ma poche avant de prendre un sac et de sortir de chez moi. Je montas alors dans mon 4x4 avant de m'engager sur la route conduisant donc jusqu'aux écuries. Retrouver mes deux amours me fait énormément de bien. C'était l'un des endroits où je me sentais le mieux. Et c'est parti pour le petit moment poupouilles avec mon petit loupiot. Cela prends un certains temps mais après une petite mise en main à pied je me décide à monter le trouvant bien assez à l'écoute. Je fais donc une bonne séance d'une heure et demi avec ma beauté à 4 sabots. Il a été vraiment merveilleux. Mais bon j'avais encore ma petite pouliche à m'occuper. Cette fois-ci je travaille environs une heure à pied avec elle. Elle commençait à comprendre les règles du respect ce qui me ravissait. Je restas par la suite bien une heure et demi de plus avec ms deux amours, passant un très bon moment mais il fallait bien que je rentre. Ce que je fis. Et après dix minutes, je garas ma voiture avant de me dire qu'au vu de l'heure il serait peut-être pas mal que je me prépare à manger. Et j'avais tout ce qu'il fallait pour faire un jangjangmyeon sauf... Le plus important, les ramen. Je ne pouvais rien faire d'autres, il fallait donc que je trouve de toute urgence de quoi le faire. J'avais déjà dépanné tes parents sur quelques petites choses qui leur manquait alors peut-être que j'allais pouvoir avoir juste un sachet. Je repris mon chapeau pour le reposer sur ma tête comme à mon habitude et de venir toquer à votre porte. Attendant, sagement que quelqu'un vienne m'ouvrir. Puis quelqu'un vint m'ouvrir j'avoue que je ne pris pas vraiment le temps de regarder pour m'incliner respectueusement. Je savais qu'ils étaient très à cheval sur les principes dans cette famille.-
Bonjour. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi mais je suis votre voisine d'en face. J'aurais besoin de ramen sinon je crois que c'est mon frigo qui va finir par m'avaler....
-Je me redressa alors avec délicatesse pour découvrir qui se tenait en face de moi.-
Lorsque tu as ouvert les yeux ce matin, tu as su que ça allait être une très bonne journée. Se réveiller en ayant pour première vue un magnifique corps svelte se déssapant, quoi de mieux pour commencer la journée. Tu la fixes jusqu'à ce qu'elle ait fini de s'habiller et disparaisse dans une autre pièce. Tu jettes un coup d'oeil à ton réveil et remarques que t'as pas vraiment le temps de rêvasser plus que ça. Tu te débarrasses de tes couvertures et coures prendre une douche. Ta mère t'a déjà préparé une tasse de thé et une biscotte. Tu avales en quelques gorgées la boisson tiède et part de la maison la biscotte entre les dents. Faudrait pas que tu rates si tu veux arriver à l'heure. Par chance ce dernier n'avait pas encore démarré de sa zone de stationnement. Tu gratifies le chauffeur de sourire séducteur et te laisses prendre place sans même payer le trajet. Tu arrives finalement à l'heure au travail. La journée se passe sans encombre avec toujours les mêmes paperasses à remplir. Aujourd'hui tu ne travailles qu'à mi-temps alors la journée passe vite. Un collègue se montre généreux et te dépose chez toi. Lorsque tu rentres, ton père est assis devant la télé et ta mère dans sa chambre entrain de prier surement. Tu salues ton père puis décide d'aller te changer pour être plus à l'aise. Ce tailleur est bien beau mais il est pas très confortable. Tu enfiles un short et un tee-shirt de pyjama puis tu fourres tes pieds endoloris dans des chaussons moelleux. Alors que t'apprêtes à aller dans la cuisine, on sonne à la porte. Ton père bien trop concentré sur la chaîne d'information ne bouge pas le petit doigt pour aller ouvrir la porte. Tu soupires et traines des pieds vers l'entrée. Tu ouvres la porte et avant même que tu es le temps de dire bonjour, que la voisine d'en face se courbe déjà pour faire un salut quasi militaire. Tu souris. Mignonne et drôle. Tu lui prends sa chapeau et le place sur ta tête.
Déstresses un peu. Ce n'est que moi. Rentres, je vais te chercher ça. Ça serait vraiment dommage qu'une fille comme toi disparaisse si tragiquement.
Tu la conduis jusqu'à la cuisine et fouilles un peu partout dans les placards en recherche de ramen. Le problème c'est que tu n'en trouves pas. Et puis tu rappelles que ta mère a fin le dernière sachet avant hier soir.
Je suis désolée, on en a plus aussi. Mais si tu veux, on a du kimchi. Je m'apprêtais à aller manger donc tu peux m'accompgner.
Tu espères qu'elle acceptera. Tu as vraiment envie de passer du temps avec elle. Elle est dans ton colimateur depuis un bon moment déjà
-Je ne savais pas pour toi, mais pour moi, je t'avais dans mon viseur. En fait depuis que je m'étais m'installer en Corée dans ton quartier. Je t'avais vite repérée mais ce n'est pas pour autant que j'avais fait quoi que ce soit pour passer plus de temps avec toi. Cela était claire que je te « cherchais » en me déshabillant à ta vue. Et je penses que tu faisais de même puisque j'avais quand même très régulièrement une vision sur ton corps si... Parfait ? Oui, je penses que c'est le mot qui convient. Tu avais des formes voluptueuse à s'en damner. Après peut-être que c'était ton petit pécher mignon de faire baver les femmes sans pour autant en être attirée. Puis, alors que je venais de m'incliner devant toi sans savoir que ce n'était pas ta mère ou ton père, je sens mon chapeau quitter ma tête et je me prépare à pousser une gueulante en me redressant, avant de voir que ce n'était autre que ta personne. Je referme la bouche voyant que tu venais de mettre mon vêtement préféré. Je ris doucement à tes mots... C'est vrai qu'avec tes parents, j'avais pris l'habitude de les saluer à la militaire. Sinon apparemment, nous n'étions pas accepté dans leurs rangs. Je t'écoute avec de rire légèrement, heureusement que je n'étais pas du genre nerveuse sinon j'aurais pris mes jambes à mon cou pour partir me cacher derrière ma porte.-
Aussi mignonne que moi ? Ania. Il y a mieux je t'assure.
-Je souris amusée avant d'accepter ton invitation et rentre dons dans l'enceinte de ta maison. Je saluas ton père même s'il avait plutôt l'air d'être bien trop scotché à son écran. Bon et bien au moins ça c'est fait. Je ma racla la gorge alors que nous rentions dans la cuisine. Je venais récupéré mon chapeau pour le remettre à son emplacement initiale dans un mouvement fluide et gracieux. J'avais du mal à me faire à l'idée que ma tête pouvait être nue en dehors de chez moi. Je viens appuyer mes fesses contre la table, les jambes croisées et les mains sur le bois de l'objet. Tu avais beau cherché mais tu ne sortais rien. Le verdict tomba et tu m'appris que tu en avais plus. Mais ton idée me plus. Autant profiter que je sois ici pour passer un peu plus temps avec toi et faire plus ample connaissance avec la jeune demoiselle qui habitait en face de chez moi.-
Hum... Oui pourquoi pas. J'adore ça et puis ça m'éviteras de manger seule comme à peu près tous les jours.
-Je ris doucement te laissant donc faire ce qu'il faut profitant des moments où tu es dos à moi pour laisser mon regard divaguer sur ton être. De près c'est encore mieux qu'à travers ma fenêtre, my gosh. Tu avais réellement un corps de déesse. Cela ne m'étonnerais pas que tu es tous les hommes à tes pieds et qu'à contre coup, pour toi les femmes n'étaient rien de plus que... Des femmes. Dans le sens amical du terme.-
Intérieurement tu rayonnes de joie lorsqu'elle accepte ton invitation. Tu prends deux couverts dans le placard et ouvres le frigo pour chercher le kimchi que ta mère avait préparé. Tu rentres la tête dans le frigo, mettant tes fesses bien en avant de façon à ce qu'elle épouse bien la forme de ton short. Tu sais qu'elle n'est pas insensible au charme des femmes. De la fenêtre de ta chambre tu l'as aperçu en pleine action avec une jolie inconnue. Tu retires enfin le kimchi du frigo et le met au micro onde quelques secondes. Juste pour qu'il soit pas trop glacé. Tu te retournes vers elle, captant son regard insistant sur ta personne. Tu souris. Tu lui piques de nouveau son chapeau pour la taquiner et le place derrière ton dos.
On t'a pas dit que c'était pas bien de porter un chapeau dans une maison. Et puis il couvre la beauté de ton jolie petit crâne.
Tu plaisantes. Le micro-onde sonne, indiquant que le repas est prêt mais tu n'y portes pas attention. Tu te déplaces à reculons, en faisant le tour de l'ilôt central, et continuant à tenir hors de portée son chapeau. Elle est trop mignonne lorsqu'on l'embête. Ses joues boudeuses sont à croquer.
Faudra réussir à me convaincre pour récupérer ton précieux chapeau.
-J'avoue que mes yeux ne boudaient pas leur plaisir à regarder ce magnifique petit postérieur qui de penche devant moi. Je me mords doucement la lèvre avant de la lâcher quand tu te redresses. On ne va pas tout de suite montrer que tu me plaisais comme femme. J'avais donc remis mon chapeau mais je le sens de nouveau quitter mon crâne ce qui me fait légèrement grogner. Je relève alors la tête vers toi gonflant mes joues, faussement énervée.-
Rends-moi mon chapeau. Et puis je suis sûre que tu en as rien à faire que ce soit "pas bien".
-Je ris doucement avant de tilter à ta dernière phrase. Autant essayer au pire, je n'ai rien à perdre. Je deviens donc plus féline alors que je tourne avec toi, mon regard ne te quittant pas d'une semelle. Un doux sourire en coin ourlant mes lèvres. Je souris doucement à ta dernière phrase.-
Tu veux que je sois plus... Convaincante ? Et bien. D'accord.
-Je souris doucement alors que mes main remonte sur mon colle pour commencer à déboutonner ma chemise avant de l'ouvrir pour te laisser une vue plongeante sur ma poitrine et mon ventre musclé. Je m'approche alors de toi et tends par la suite ma main pour reprendre mon chapeau que je viens récupérer après avoir rapproché mes lèvres des tiennes.-
Merci !
-Je me dérobe au dernier moment ne te donnant finalement pas ce baiser que tu aurais pu croire que je te promettais et viens reboutonner ma chemise. Tu étais donc aussi attirée par les femmes intéressant à savoir. Je viens te regarder du coin de l'oeil alors que j'étais désormais dos à toi, en pointant le micro-onde du doigt.-
Tu aimes jouer, provoquer et tu aimes les personnes qui savent en faire autant. Tout comme DaGun. Tu te mords les lèvres louchant sur sa poitrine que tu as furieusement envie de toucher. Tu continues à reculer jusqu'à ce que tu te cognes au plan de travail. Ses lèvres sont à quelques centimètres des tiennes. Sans même qu'elles ne te touchent, tu sais qu'elles sont douces. Il n'a suffit que de quelques secondes d'inatention pour qu'elle reprenne le chapeau de tes mains. Mais tu t'en fiches un peu, ton regard est toujours fixé sur ses lèvres. C'est lorsque le micro-onde reprend son bip incessant que tu sors de ta torpeur. Tu mets une portion de kimchi dans chaque plat et les dépose à la salle à manger. Tu jettes un coup d'oeil dans le salon. Ton père n'est plus là. Il doit être dans sa chambre. Tu prends place et fais signe à Dagun de te mettre juste en face de toi.
Bon appétit!
Tu commences à manger et laisses échapper des petits gémissements qui sont à la base juste pour signaler à quel point le repas est bon. Bien evidemement, tu neras pas qu'une double intention s'y cache. Tu lances un regard malicieux à DaGun. Tu prends une feuille de choux et la fais entrer doucement dans ta bouche.
Hum ... Je crois que le kimchi de ma mère est le meilleur.
-Un sourire malicieux ne quittait pas mes lèvres, bien fière de t'avoir déconcentrée. Tu viens alors prendre le dîner et nous sert. Je viens prendre ma part de mes deux mains avant de venir prendre place à la table en face de ta personne pour prendre mes baguettes avant de commencer à manger. C'était vraiment suculant. Oui, alors non... Je n'ai pas testé ta mère hein. Que l'on ne s'y trompe pas. Enfin bref, je viens prendre une feuille de chou avant d'entendre les doux gémissements. Je reste un instant en bug avant de reprendre la mâche de ce que j'ai dans la bouche. Je me racle la gorge avant de hocher la tête positivement.-
C'est vrai que c'est vraiment délicieux.
-Je souris doucement faisant semblant d'être insensible à tes petits bruits. Je viens finir mon plat avant de me lever pour faire la vaisselle de mes couverts plus par habitude. Je souris doucement alors que je remarque que tu as finis. Je m'approche alors de ta personne pour pousser ton assiette et m'assois sur ta table, mes jambes de chaque côté de toi. Je me mords la lèvre, mon regard sur ton être se faisant un peu plus sexy.-
Un petit dessert... Ca te dirais ?
-Autant que ton dessert soit moi, cela est bien plus intéressant qu'un simple yaourt ou autre. Je viens bomber le torse pour faire ressortir ma poitrine pour que tu comprennes le message.-
Elle est entreprenante et t'aimes ça. Tu t'attendais pas à ce q'elle soit ce genre de fille. Tu la voyais plutôt réservée et timide. Mais visiblement, tu t'es trompée. Cependant, ce n'est pas pour te déplaire. Son comportement rend la situation d'autant plus excitante. Tu te mords les lèvres en fixant son magnifique décolleté. T'adorerais y plonger ta tête. Tu caresses sa cuisse du bout des doigts puis sans crier gare, tu recules ta chaise et te lèves.
Je crois qu'on a des fraises au frigo, je vais en chercher.
Tu prends ton assiette effleurant son bras au passage puis te diriges vers la cuisine, ne manquant pas de rouler ton popotin. Tu sors un bol que tu remplis de chantilly et une belle barquette de fraises. Ce dessert va être très divertissant. Tu reprends ta place sur ta chaise, et donc entre ses jambes. Tu trempes une fraise dans la chantilly et la lui tend.
C'est toi l'invité, alors à toi l'honneur.
Tu frissonnes légèrement lorsque ses lèvres viennent effleurer tes doigts. Elles sont si douces. Tu te sers une fraise couvertes de chantilly et au lieu de la croquante, tu la suces, aspirant toute la chantilly qui la couvrait, et enfin tu finis par croquer dedans. Humm ... elles sont aussi juteuses que doivent être les lèvres de Dagun.
Alors mademoiselle la cow girl, t'as quelqu'un dans la vie? Quelqu'un avec qui tu peux faire du rodéo dans ton lit?
Le tact c'est pas ton point fort et d'ailleurs t'as jamais essayer d'en avoir.
-Un petit sourire se hisse sur mon visage quand je remarque ton regard qui se pose sur ma personne. Enfin, plus exactement sur mes seins et ta lèvre se coinçant entre tes dents accentue à la perfection ton air sensuelle et sexy. Puis tu prends la parole et hoche la tête à tes mots.-
Avec plaisir pour les fraises.
-Je souris doucement avant de me mordre la lèvre en voyant ton jolie petit fessier, avec ses cuisses qui me donnait tant d'envies, rouler devant moi. Mes yeux ne les quittent pas une seule seconde avant que tu ne viennes de nouveau t'installer avec moi, posant le bol de chantilly et la barquette de fraise sur la table, tandis que je suis toujours installée sur cette dernière. Puis tu viens me tendre un fruit. Avec un petit sourire coquin, je viens le croquer faisant bien attention de caresser tes doigts de mes lèvres, et laisse ma langue y faire de même très rapidement sur ton pouce. Autant faire doucement monter la température. Elles étaient vraiment délicieuses et bien sucrées. Puis je baisse mon regard sur toi et te vois prendre la fraise de manière très sensuelle et surtout ce qui pouvait faire penser à tes lèvres sur un tout autre endroit de mon anatomie. Je me mords discrètement la lèvre alors qu'un soupir prends ensuite le pas. Puis à ta question, je me redresse pour me pencher un peu en avant pour te laisser une vue plongeante sur mon décolleté.-
Et non. Je n'ai personne pour me faire faire du rodéo sous la couette et me cravacher quand je ne suis pas sage.
-Un petit sourire coquin vient se coller à mes lèvres. Et oui, j'aimais la cravache et je ne savais pas si tu avais pu le voir... J'ai dû me faire plaisir une seule fois, dans ce genre là depuis que je suis et une autre fois mais où on va dire que c'était plus... Normal ? Enfin bref.-